Jour de l’An à Marseille

Catégories : Rencontres BDSM Gode ceinture strapon
il y a 4 ans

Les confidences érotique d’une homme découvrant la sodomie par une femme

Une amie m’a invité à une fête pour le jour de l’An chez l’une de ses connaissances. Il fallait juste amener une bonne bouteille de vin. Ça tombait bien, il me restait une bouteille de Tariquet. Un petit vin blanc sec de bonne tenue qui passe très bien avec les huîtres.

Il y avait une petite douzaine de personnes. Dont les trois quarts de femmes. J’adore les soirées où les femmes sont en nombre. Pas seulement parce que, célibataire que je suis, je peux regarder, évaluer, flirter en toute tranquillité mais surtout parce que la plupart du temps, ce sont des soirées qui sont beaucoup plus détendues et plus sympas.

Mon amie me présente au maître des lieux et comme nous sommes les derniers arrivés, nous saluons tout le monde les uns après les autres.

— Bonjour, Samuel, enchanté de faire votre connaissance…

J’aime la diversité des femmes. Des visages, des sourires, des regards, des corps, des façons de bouger, des odeurs, des voix, de la façon dont elles embrassent pour des bonjours. Le contact des lèvres sur la joue lorsqu’on ne se connaît pas. Toutes ces petites choses qui nous donnent un instantané des personnes que l’on rencontre. En plus, avec mon sax à l’épaule, ça provoque toujours des petits riens dans le regard et les attitudes. Bref, les premiers contacts sont souvent déterminants.

On me sert un verre et je commence à discuter avec un peu tout le monde et me mets à aider dans la préparation de la soirée. Au bout d’une petite heure, une dernière invitée arrive. Marie. Une petite Antillaise, bien en forme avec une très belle énergie et d’une sensualité qui m’interpelle sur le champ. Et lorsqu’elle m’embrasse pour me dire bonjour, ses lèvres, son odeur, sa façon de bouger m’électrisent. Et elle le sent.

La soirée se déroule, on boit, on passe à table, on plaisante et on danse. Une pièce de l’appartement a été aménagée pour ça et je me laisse aller. Ça fait longtemps que je ne me suis pas senti aussi détendu et je me laisse porte par l’ambiance. C’est elle qui vient m’inviter à danser sur un zouk. Elle se colle à moi et nous dansons tout en plaisantant. Les lumières sont tamisées et soudain je sens une de ses mains qui vient caresser mes fesses. Le zouk fait place à un slow et elle se colle contre moi en m’attirant contre son ventre. Elle se met à onduler et mon corps se manifeste par une érection qui se développe à grande vitesse. Comme elle est vraiment plus petite que moi, je me retrouve tendu juste sous sa poitrine très généreuse. J’aime aussi les femmes rondes quand elles sont fermes et qu’elles assument leur corps. Et là, je bande vraiment et elle joue de ça. Elle s’écarte légèrement, me regarde en riant dans les yeux et me dit :

— Hmm, tu m’as l’air d’être émotif !

— Non, je suis juste sensible.

— À quel point ?

— À toi de voir si tu veux.

— OK, mais c’est moi qui mène la danse.

— Pas de problème, ça me va.

Nous continuons de danser et la soirée se déroule dans la bonne humeur. Vers deux heures du matin, elle vient me voir et me dit :

— Tu es toujours d’accord pour te laisser faire quoi que je te propose ?

— Bien sûr.

— Je vais rentrer, tu me raccompagnes ?

— OK, je vais voir avec Claude si quelqu’un peut la ramener.

— Non, ramène-la et retrouve moi chez moi. J’habite pas loin du Vieux Port. Prends mon adresse et rejoins-moi d’ici trois quarts d’heure.

— D’accord.

Je vais retrouver Claude qui me dit que son fils est fatigué et qu’il faudrait que je la ramène en voiture. Ce que je fais.

Trois quarts d’heure plus tard, je me retrouve devant chez Marie et je sonne. Elle me fait entrer. Elle s’est douchée et a passé une petite nuisette de soie toute légère sous laquelle je devine un porte-jarretelles. Elle m’embrasse dans le cou en se mettant sur la pointe des pieds et m’entraîne dans son salon.

— Tu sens bon.

— Oui, j’ai pris une douche. Je te fais couler un bain ?

— Oui je veux bien.

— Comment le bain ?

— Bien chaud avec de la mousse.

Elle s’éclipse, je l’entends faire couler l’eau et je sens l’odeur des sels de bain qu’elle verse dans la baignoire. Je retire mon blouson, mes chaussures et je m’en vais la rejoindre. Il y a de la vapeur partout et il fait chaud. Elle me déshabille. Une fois nu, elle me détaille des pieds à la tête, prend mon sexe tendu dans ses mains et se met à me tirer la peau délicatement pour en dégager le gland. Elle le presse doucement et fait perler une goutte qu’elle recueille du bout de son index en laissant s’étirer le fil avant de l’avaler d’un coup de langue gourmande.

Elle me sourit et me dit :

— Allez, au bain !

Je touche l’eau. Elle est chaude comme je l’aime, limite brûlante. J’y entre doucement alors qu’elle se met à me caresser les fesses et passe une main entre mes jambes. Elle me caresse les testicules alors que je commence à m’accroupir. Mes fesses sont presque dans l’eau quand elle me dit de m’arrêter. Je m’immobilise, les mains posées de chaque côté de la baignoire, appuyé sur mes bras, en équilibre, le sexe tendu au ras de la mousse et la vapeur chaude m’enveloppant les reins.

— Tu es toujours d’accord pour te laisser faire ?

— Ça ne se voit pas ?

— C’est bien. Avance-toi un peu que je me mette derrière toi.

Je lui obéis et je la sens entrer dans l’eau derrière moi. Elle me caresse le dos et ses mains reviennent se placer sur mes fesses qu’elle se met à masser. Elle les écarte doucement et je sens un de ses doigts s’appuyer contre mon anus. Je me crispe. Elle me le masse gentiment et me dit :

— Détends-toi.

— J’essaie.

— Laisse-toi faire

Elle continue et appuie sa caresse et je sens mon œillet qui se détend.

— C’est bien. Assieds-toi dans l’eau maintenant et mets tes jambes sur le rebord de la baignoire.

Mon esprit est un peu confus. Je suis là, dans une baignoire bouillante, chez une petite Black d’une quarantaine d’années qui me masse où on ne m’a jamais touché auparavant et je me laisse faire. L’eau me brûle un peu la peau et me détend. Je suis curieux. Je m’installe, les jambes relevées sur les bords de la baignoire, le dos bien appuyé, ouvert et offert à cette femme que je ne connais pas. Elle vient se mettre devant moi, prend mes testicules dans une main, les masse et se remet à toucher mon anus. L’eau chaude a fait son œuvre. Elle introduit facilement son index à l’intérieur de moi en tournant légèrement. Je le sens s’enfoncer et la sensation étrange qui s’empare de moi me fait frissonner. Elle l’a mis entier et le fait aller et venir. Et je m’ouvre. Je me laisse aller et je la sens me mettre un deuxième doigt toujours en douceur. Puis elle replie son index et vient toucher un renflement à l’intérieur qu’elle se met à masser. Je me cabre car le contact m’a envoyé une décharge électrique dans tout mon corps.

— Mais…

— Ce n’est rien je vais masser ta prostate. Voilà, ouvre-toi encore.

Je m’abandonne et me mets à gémir au fur et à mesure que son doigt accentue la caresse. Je n’ai plus de repère et mon corps est emporté dans un tourbillon de sensations inconnues qui me submergent. Je sens mon sexe tendu et ses doigts qui me fouillent. Sa langue vient me lécher les tétons. Je tremble et je gémis de plus en plus fort. D’un seul coup, je sens une décharge plus v i o l ente que les autres, son doigt appuie contre ma prostate et un orgasme d’une puissance incroyable me prend et je crie. Je vois mon sperme jaillir et jaillir encore. Je ne savais pas que je pouvais venir autant. Elle retire sa main, se met à genoux dans la baignoire et je la vois avec un gode-ceinture autour de la taille.

— Mais…

— Ce n’était que le début. Je te promets, vu comment tu viens de réagir, que tu vas adorer.

Alors je me laisse faire. Elle se met entre mes jambes, les met sur ses épaules et elle me pénètre doucement. Je viens de jouir et mon anus est détendu, elle s’y enfonce sans mal. Elle passe ses mains sous mes fesses et se met à aller et venir en me regardant dans les yeux. Elle sourit et me dit :

— J’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu. J’aime prendre les garçons comme ça avant qu’ils ne me le fassent. Je vais accélérer.

Elle a accéléré et je me suis ouvert d’un seul coup. Moi qui d’habitude le fais aux femmes, je me retrouve pris bien à fond par l’une d’elles qui me fait jouir. Elle se penche, m’embrasse sur la bouche et sa langue s’enfonce dans ma gorge. Elle me mord. Ses reins se cambrent et elle avale le cri qui monte du plus profond de moi. L’eau éclabousse toute la salle de bain, et elle, ses coups de reins m’ouvrent littéralement en deux. Elle me sodomise avec ardeur. Elle retire sa langue de ma bouche et me prend de toutes ses f o r c e s. Son gode entre moi comme s’il avait toujours été là. Je sens mon anus s’ouvrir et se refermer. Elle s’arrête d’un coup et sans m’en rendre compte je lui dis :

— Continue ! Oh oui, continue !

Elle me regarde, sourit gaiement et me dit :

— Tu fais ce que je veux. Et ce que je veux, c’est te prendre en levrette, ton cul tendu vers moi et les reins bien cambrés. Sors de l’eau, sèche-toi et suis-moi.

Je m’exécute. Elle m’attr a p e par les hanches et m’emmène dans sa chambre. Son lit est dans une alcôve. Elle tire les rideaux qui recouvrent les murs et deux grandes glaces apparaissent. Je lève la tête et je vois celle du plafond. Toutes les glaces se renvoient les reflets. Elle m’appuie contre l’une d’elle, à genoux, cambre mes reins, me donne une claque sur les fesses et me dit :

— Allez, donne-toi que je finisse ce que j’ai commencé.

Je lui tends mon cul, et la vois derrière moi, un large sourire sur la figure et les yeux gourmands.

— Regarde-toi comme tu es beau. Regarde-moi te prendre dans les glaces.

Tout en parlant, elle a enfoncé son gode d’un seul coup dans mes reins et s’est mise à me pilonner. Je crie de surprise mais le plaisir est immédiat. Elle passe une main autour de ma taille et me caresse la verge.

— Je t’interdis de jouir par là. Je veux que tu me prennes par derrière. Alors retiens toi et laisse-moi te faire jouir par le cul. Cambre-toi et viens le chercher. C’est ça. Continue.

Je me laisse aller et bouge mes hanches sur son engin que je m’enfonce. Ses doigts crochetés dans mes hanches elle continue de me défoncer et je sens une vague énorme monter de mon tréfonds. Je regarde dans la glace et je me vois, emmanché jusqu’au bout par cette femme magnifique qui va-et-vient au fond de mon cul en gémissant de plus en plus fort.

— Donne-le-moi, maintenant.

Et je hurle mon plaisir qui m’envahit pendant de longues minutes alors qu’elle se déchaîne en criant à son tour. Je m’affaisse sur le ventre, le sexe tendu et l’anus dilaté, secoué par des frissons incontrôlables. Je viens de jouir comme jamais.

Elle me retourne, et se met à lécher mon gland…

Mais ça c’est une autre histoire…

Tryme

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